« La beauté d’un lieu permet de porter la prière des paroissiens. » Charles-Thierry Ndjandjo
Charles-Thierry Ndjandjo, séminariste en première année pour le diocèse de Pontoise, souligne à quel point de très beaux vitraux nous permettent de méditer davantage la parole.
« La beauté d’un lieu permet de porter la prière des paroissiens. » Charles-Thierry Ndjandjo
« Je suis arrivé à Goussainville en 2003 avec ma famille. Ce qui m’a beaucoup marqué dans cette paroisse c’est d’abord la communauté très diversifiée et l’architecture, de très beaux vitraux qui nous permettent de méditer davantage la parole. L’église rayonne beaucoup d’une modernité et en même temps, elle ne casse pas la tradition catholique, au contraire, je trouve qu’elle la grandit, qu’elle permet d’élever davantage notre foi quand on y est. C’est un bon moyen de dialoguer entre l’architecture et la foi qui y est insérée.
Je pense que les travaux peuvent soutenir davantage l’ambition de ce bâtiment, à savoir que célébrer dans une église, une belle église, dans un bâtiment qui ne tombe pas en ruine ça permet de soutenir la communauté, de soutenir les projets. La beauté d’un lieu permet de porter la prière des paroissiens. Pendant la messe du dimanche matin à 11heures, quand on voit le soleil frapper sur les vitraux et qu’il y a un temps de silence après la communion, c’est un peu comme si Dieu nous visitait d’une certaine manière. Dieu parle par le beau. Je pense que la beauté de la sainteté des personnes passe le rayonnement des lieux. »